Nos conseils carrières

Retrouvez nos conseils et orientations pour vous aider à mieux piloter votre vie professionnelle!

Filtrer et Affiner votre recherche :

Beaucoup de personnes sont très maladroites lorsqu’elles veulent démissionner de leurs postes. Elles commettent des faux pas qui détériorent la relation tissée avec le manager ou les collègues et créent une tension inutile. 
 
Voici quelques conseils à appliquer pour bien réussir sa démission

*Planifiez une réunion en personne avec votre manager

Idéalement, demandez une réunion en personne avec votre supérieur hiérarchique pour discuter de votre démission. Si ce n'est pas possible, une conversation téléphonique peut être une alternative. 
 
 *Préparez-vous
 
Avant la réunion, préparez-vous à expliquer votre décision de manière claire et concise. Réfléchissez à ce que vous direz et anticipez les questions potentielles de votre manager.
 
 *Restez professionnel
 
Pendant la réunion, restez calme, professionnel et respectueux. Évitez de porter des critiques ou de faire des commentaires négatifs sur l'entreprise ou vos collègues. 
 
*Expliquez votre décision
 
  Présentez les raisons de votre démission de manière honnête et respectueuse. Vous n'êtes pas obligé de fournir tous les détails, mais soyez transparent sur les raisons qui motivent votre départ.
 
*Proposez une période de préavis
 
Offrez une période de préavis raisonnable, généralement deux semaines minimum, pour permettre à votre employeur de trouver un remplaçant et de faciliter la transition. 
 
*Présentez une lettre de démission
 
Après la réunion, rédigez une lettre formelle de démission confirmant votre décision. Cette lettre devrait inclure votre date de départ prévue et votre gratitude envers l'entreprise. 
 
*Restez engagé
 
Pendant la période de préavis, continuez à travailler avec professionnalisme et engagement. Assurez-vous de terminer vos tâches en cours et de faciliter la transition pour votre successeur. 
 
 *Restez en contact 
 
Conservez de bonnes relations avec vos collègues et votre manager même après votre départ. Vous pourriez avoir besoin de leur recommandation à l'avenir.
 
*Préparez-vous à partir
 
Utilisez le temps restant pour organiser votre départ, comme le transfert de vos responsabilités et la remise de vos équipements et dossiers.
 
En suivant ces étapes, vous pouvez présenter votre démission de manière professionnelle et respectueuse, ce qui contribuera à maintenir de bonnes relations avec votre employeur et vos collègues.


Si vous évoluez dans le milieu professionnel, vous devez créer et développer votre réseau afin de découvrir de nouvelles perspectives de carrière. Ainsi, vous  devez nouer des relations qui s’inscrivent dans la durée avec vos collègues, vos anciens camarades de promotion de votre classe ou votre université, des personnes avec qui vous partagez les mêmes centres d’intérêt ou le même secteur d’activité... Le développement de relations avec ces personnes est indispensable pour celui qui a l’ambition d’élargir sa notoriété dans l’entreprise et le secteur dans lequel il évolue. Dès lors, développer son réseau professionnel est crucial pour progresser dans sa carrière, élargir ses opportunités et bénéficier du soutien d'autres professionnels.
 
 Voici quelques conseils pour développer efficacement votre réseau professionnel :
 
Identifiez vos objectifs :
 
Avant de commencer à développer votre réseau, déterminez ce que vous souhaitez réaliser. Voulez-vous trouver un nouvel emploi, rechercher des partenariats, obtenir des conseils dans votre domaine, ou simplement élargir vos contacts ?
 
Utilisez les médias sociaux professionnels :
 
 Plateformes comme LinkedIn sont des outils puissants pour développer votre réseau. Assurez-vous que votre profil est complet, professionnel et à jour. Partagez du contenu pertinent et engagez-vous dans des discussions pour renforcer vos relations.
 
Participez à des événements professionnels :
 
Assister à des conférences, des salons professionnels, des ateliers ou des séminaires vous permet de rencontrer des personnes partageant les mêmes intérêts professionnels. N'oubliez pas d'apporter vos cartes de visite et de vous présenter de manière professionnelle.
 
Rejoignez des groupes et associations professionnelles :
 
Faites partie de groupes professionnels pertinents dans votre domaine. Cela vous permettra de rencontrer des personnes ayant des intérêts communs et d'échanger des idées et des opportunités.
 
N'ayez pas peur de prendre contact :
 
Lorsque vous identifiez des personnes que vous aimeriez inclure dans votre réseau, n'hésitez pas à leur envoyer un message personnalisé pour leur exprimer votre intérêt à établir une relation professionnelle.
 
Cultivez vos relations :
 
Une fois que vous avez établi des contacts, entretenez ces relations en restant en contact régulièrement. Cela peut être aussi simple qu'un e-mail occasionnel pour prendre des nouvelles ou partager des informations utiles.
 
Soyez un bon partenaire de réseau :
 
Offrez votre aide et vos ressources aux autres membres de votre réseau lorsque vous le pouvez. Le réseautage est une relation mutuelle, donc être prêt à donner autant que vous recevez est crucial pour maintenir des relations solides.
 
Assistez aux événements de réseautage :
 
Cherchez des opportunités de réseautage dans votre région, comme des événements organisés par des chambres de commerce locales ou des clubs d'affaires. Ces occasions offrent souvent un environnement détendu pour rencontrer de nouveaux contacts.
 
Restez authentique :
 
Les gens sont attirés par l'authenticité. Soyez vous-même lorsque vous interagissez avec les autres professionnels, et ne cherchez pas simplement à élargir votre réseau pour des gains personnels.
 
Faites preuve de patience et de persévérance :
 
Le réseautage prend du temps, donc soyez patient et persévérez. Les relations professionnelles solides se construisent progressivement et nécessitent un investissement continu.
 
En suivant ces conseils et en restant actif et engagé dans votre réseau, vous serez en mesure de développer efficacement votre réseau professionnel et de bénéficier des nombreuses opportunités qu'il offre.


La motivation des salariés au travail est un enjeu majeur. C'est une question de bien-être et de performances. Un employé reconnu et impliqué dans sa tâche sera plus productif. Ainsi, il est important de motiver ses salariés afin de tirer le maximum d'eux-mêmes. Vous pouvez par exemple motiver vos salariés en améliorant leurs conditions de travail dans le but de favoriser leur bien-être. Aussi, vous vous assurez que les collaborateurs prennent plaisir à travailler avec vous. Si vous trouvez les clés pour motiver vos équipes, celles-ci vous le rendront en s’investissant toujours plus. Elles vont ainsi plus produire et pérenniser votre entreprise.
 
Voici 20 clés pour améliorer la motivation de ses salariés : 
 
1. Proposer un salaire cohérent
 
Au-delà d’un choix lorsque l’on exerce la profession que l’on aime, travailler est une obligation pour subvenir à ses besoins. Aussi, un salarié bien rémunéré est naturellement plus épanoui dans un quotidien qu’un salarié qui peine à boucler ses fins de mois. Mais c’est également une personne qui se sent reconnue pour l’action qu’elle mène au sein de son entreprise. Rémunération et motivation des salariés sont inévitablement liées.
 
2. Améliorer les conditions de travail
 
Les conditions de travail figurent parmi les principaux facteurs de motivation des salariés. Ils sont plus enclins à contribuer à l’évolution de l’entreprise s’ils travaillent dans une ambiance sereine, au cœur d’une entreprise où ils sont considérés. Mais améliorer les conditions de travail, c’est aussi faire le choix du bon matériel, de sièges confortables, etc. C’est une solution globale pour motiver les salariés sans augmentation de salaire, durant un temps du moins.
 
3. Proposer les meilleurs outils collaboratifs pour travailler
 
Les besoins des salariés doivent être pris en compte. Parmi ceux-ci, citons les outils collaboratifs qui sont aujourd’hui devenus indispensables pour améliorer la gestion des tâches. Un intranet moderne répond aujourd'hui à tous les besoins d'une entreprise en matière de collaboration entre les équipes. Disposer d’outils pour centraliser la gestion des missions, mieux gérer son temps de travail et mieux communiquer permet d’augmenter la productivité.
 
4. Proposer des formations régulières
 
La motivation au travail passe en outre par la connaissance. La formation est un levier majeur qui offre aux équipes de nouvelles compétences. Si cela les valorise, c’est aussi un moyen de les rendre plus performantes. Vous faites ici d’une pierre deux coups en permettant à vos salariés d’être plus efficaces.
 
5. Envisager des perspectives d’évolution
 
Si certains salariés n’ont pas véritablement d’objectifs de carrière, d’autres ne resteront dans votre entreprise que s’ils peuvent envisager une évolution. Vous devrez mettre en place un système de promotion qui permet de gravir les échelons, c’est l’un des fondements de la motivation des salariés au travail. Cela évitera un turn over trop important qui impacterait votre entreprise négativement.
 
6. Souder les équipes
 
Communication et collaboration sont intimement liées. Il existe diverses manières de souder les équipes. D’une part, vous devez leur fournir des outils de communication performants, les outils collaboratifs sont là pour ça. Vous devez aussi envisager une autre forme de communication, notamment via le team building. C’est une solution efficace pour permettre à vos employés de se découvrir dans un autre contexte et comprendre qu’ils ont besoin les uns des autres.
 
7. Savoir féliciter un employé
 
S’il est tout à fait normal de dire à un employé qu’il a mal agi, il est fondamental de savoir le féliciter lorsqu’il a atteint ses objectifs. Les employés de votre entreprise ont naturellement besoin d’être valorisés. C’est l’un des facteurs de la motivation des salariés. Congratuler, c’est augmenter la motivation pour aller encore plus loin et se dépasser afin d'accomplir de nouvelles missions. Une plateforme intranet pour l'engagement de vos salariés permettra aussi de les mettre en valeur et de les féliciter lorsqu'un projet est terminé ou suite à de bons résultats.
 
8. Donner la parole
 
La motivation des collaborateurs est liée à la manière dont on les considère. Un simple exécutant ne va certainement pas s’impliquer de la même manière qu’un employé à qui on donne la parole. Laissez vos salariés s’exprimer sur leurs besoins. Laissez-les critiquer votre organisation. Après tout, la critique est parfois constructive. Permettez-leur de suggérer des idées pour développer votre activité, ce sont eux qui agissent au quotidien : ils peuvent avoir des idées très pertinentes. Et pourquoi ne pas mettre en place un questionnaire sur la motivation des salariés?
 
9. Savoir déléguer
 
La mise en place d’une démarche de motivation des salariés passe également par la capacité à déléguer. Certes, ce n’est pas toujours simple, mais vous devez pouvoir vous appuyer sur vos équipes. Déléguer, c’est leur donner de l’importance, les laisser mener leurs missions comme ils l’entendent et prendre le relais. Une fois de plus, c’est extrêmement valorisant et cela ne peut qu’impacter favorablement votre entreprise.
 
10. Faire confiance à ses collaborateurs
 
La confiance est le maître-mot lorsque l’on parle de motivation des salariés. Comment motiver un collaborateur qui sent qu’on ne lui fait pas confiance? Il ne pourra s’impliquer comme il le devrait et ne sera pas un moteur pour votre entreprise. Parfois, il s’agit simplement d’un problème de communication. Aussi, si vous avez confiance en vos équipes, dites-leur. Des outils de communication intégrés à votre intranet est une solution utilisée par les plus grandes entreprises.
 
11. Offrir des récompenses personnalisées
 
Parmi les outils de motivation des salariés, au-delà du salaire, évoquons les récompenses. Source de motivation, la reconnaissance figure en haut rang. Et pour être reconnu, un employé doit avant tout être connu. Il ne doit pas être une personne parmi tant d’autres. Tentez de connaître vos équipes et offrez-leur des cadeaux personnalisés, ce signe d’intérêt ne pourra qu’être bien perçu.
 
12. Déterminer des objectifs raisonnables
 
Faire face à des objectifs trop élevés peut être déroutant pour les équipes. Le risque est qu’ils échouent systématiquement et qu’ils perdent leur motivation. Pour atteindre les objectifs fixés, il est nécessaire que ceux-ci soient raisonnables. Nul besoin de viser trop haut, cela risque de vous desservir à terme. L’échec peut entraîner la lassitude et engendrer un turn over plus important.
 
13. Instaurer une culture d’entreprise
 
Les salariés ont besoin de s’identifier pour s’investir dans leur entreprise. Aussi, celle-ci doit instaurer une vraie culture, partager son histoire, ses valeurs avec ses salariés. Ils ont besoin de se reconnaître dans cette structure dans laquelle ils passent finalement beaucoup de temps. N’hésitez pas à inclure vos employés dans le développement de l’entreprise et dans le partage de ses valeurs.
 
14. Accorder des pauses
 
La pause est souvent perçue comme une perte de temps par les employeurs et les managers. Or, en réalité, celle-ci permet aux salariés de se retrouver, mais aussi de couper quelques minutes pour être plus productif ensuite. Selon Desktime, ses employés les plus productifs sont ceux qui travaillent de manière intensive durant 52 minutes avant de prendre 17 minutes de pause1. À réfléchir.
 
15. Laisser la place aux projets personnels
 
La motivation des salariés chez Google passe par le célèbre projet 20 %. Il s’agit de laisser à ses équipes 20 % de leur temps pour se consacrer à des projets personnels en lien avec leur activité. Ce concept a fait ses preuves, c’est de cette manière que sont nés Adsense et Google News. À une certaine époque, la motivation des salariés chez Apple s’appliquait un peu de la même manière avec deux semaines par an accordées aux projets personnels.
 
16. Éviter la solution «diviser pour mieux régner»
 
Cette solution a fait son temps. Monter les employés les uns contre les autres, placer des chefs dans chaque section, tout ceci s’avère contreproductif. Les salariés ne travaillent plus ensemble, ils sont en compétition permanente et cela altère les conditions de travail qui, rappelons-le, sont un facteur de motivation des salariés.
 
17. Être présent en tant que chef d’entreprise
 
La communication interne et la motivation des salariés vont de pair. Et cette communication doit être à la fois horizontale et verticale. Pour s’impliquer, les salariés doivent savoir avec qui et pour qui ils travaillent, et considérer que la tête de l’entreprise est accessible. En tant qu’employeur, vous devez être physiquement présent dès que possible auprès de vos équipes.
 
18. Savoir demander conseil à ses équipes
 
Nous venons d’évoquer la communication transversale. Il ne s’agit pas de simples échanges. En tant qu’employeur ou manager, vous devez vous tourner vers vos équipes pour leur demander conseil. Pourquoi? Simplement parce que ce sont eux qui sont sur le terrain et qu’ils sont à même de vous apporter beaucoup pour faire évoluer votre entreprise. De plus, c’est un facteur de valorisation majeur.
 
19. Rendre les horaires de travail plus flexibles
 
La flexibilité est une très bonne solution pour motiver les salariés. Aussi, la mise en place d’horaires flexibles est un signe de souplesse et de confiance qui leur permet d’être plus autonomes. Ils peuvent ainsi mieux concilier vie privée et vie professionnelle, cela peut être une solution à envisager pour qu’ils s’impliquent toujours plus dans l’évolution de votre entreprise.
 
20. Accorder le télétravail à ceux qui le souhaitent
 
Vous vous demandez encore comment accroître la motivation des salariés ? Nous vous proposons de répondre à une requête toujours plus forte : le télétravail. Les salariés souhaitent travailler chez eux. Pas tous les jours, mais une à deux fois par semaine, ils désireraient ne pas perdre de temps dans les transports et concilier une fois de plus personnel et professionnel. Plus de concentration et moins d’absentéisme, vous avez tout à gagner à donner suite aux attentes de vos salariés pour les motiver.
 
 

Nouer de bonnes relations avec son manager est crucial pour le succès professionnel et le bien-être au travail. Un bon environnement au travail est indispensable pour avoir des résultats performants. 
 
Voici quelques conseils pour y parvenir :
 
  • Communiquez efficacement :

 Assurez-vous de communiquer ouvertement et de manière transparente avec votre manager. Tenez-le informé de l'avancement de vos projets, de tout problème rencontré et de vos besoins en matière de ressources ou de soutien.
 
  •  Soyez professionnel :

Maintenez un comportement professionnel en tout temps. Respectez les délais, soyez ponctuel aux réunions, et traitez vos collègues et votre manager avec respect et courtoisie.
 
  •  Soyez proactif :

 Prenez des initiatives et proposez des solutions aux problèmes. Montrez à votre manager que vous êtes capable de prendre des responsabilités et de faire avancer les choses de manière autonome.
 
  • Soyez fiable :

Respectez vos engagements et faites en sorte de livrer un travail de qualité dans les délais impartis. La fiabilité est une qualité très appréciée par les managers.
 
  •   Demandez des feedbacks :

Sollicitez régulièrement des feedbacks de la part de votre manager sur votre performance. Utilisez ces retours pour vous améliorer continuellement et montrer que vous appréciez ses conseils.
 
  • Soyez à l'écoute :

Écoutez attentivement les conseils et les directives de votre manager. Montrez de l'intérêt pour son point de vue et soyez ouvert à ses suggestions.
 
  •   Faites preuve d'empathie :

Essayez de comprendre les attentes et les préoccupations de votre manager. Mettez-vous à sa place et adaptez votre comportement en conséquence.
 
  • Proposez des solutions :

Ne vous contentez pas de signaler les problèmes, mais proposez également des solutions. Montrez à votre manager que vous êtes capable de trouver des réponses aux défis rencontrés.
 
  •  Soyez authentique :

Restez fidèle à vous-même et ne cherchez pas à jouer un rôle. Les managers apprécient l'authenticité et la sincérité.
 
  •   Établissez une relation de confiance :

Faites-en sorte que votre manager se sente en confiance avec vous. Respectez sa confidentialité et montrez-lui que vous êtes digne de confiance.
 
En suivant ces conseils, vous pouvez établir et entretenir de bonnes relations avec votre manager, ce qui peut contribuer à votre épanouissement professionnel et à votre réussite dans l'entreprise.
 

Saviez-vous que travailler  c’est bon pour votre santé ?
Oui, oui. Même si vous avez parfois l’impression que rester au lit et jouir de votre temps comme vous le souhaitez, vous feraient le plus grand bien, le travail a plusieurs effets positifs sur la santé :

  •   Effets sur la santé mentale :

* Réduction du stress et de l’anxiété : 

Le travail offre une structure et une routine quotidiennes, ce qui peut contribuer à réduire le stress et l'anxiété. En effet, rester à la maison à longueur de journée sans rien faire est souvent source de stress et d’anxiété. Le travail vous permet de faire une activité, de vous occuper utilement et de ne pas penser à des choses qui vous stressent !

* Sentiment d'accomplissement :

 Le fait de réaliser des tâches et d'atteindre des objectifs peut donner un sentiment d'accomplissement et de satisfaction. Ce sentiment va entraîner naturellement une motivation à gravir des échelons et ouvrir de nouvelles perspectives de carrière. La motivation et l’envie sont deux facteurs importants pour cultiver la réussite.

* Liens sociaux : 

Le travail permet de tisser des liens sociaux avec des collègues et des clients, ce qui peut améliorer le sentiment d'appartenance et de soutien social. À force de travailler avec ses collègues ou de côtoyer des clients, pendant des mois ou des années, ces derniers occupent progressivement une place importante dans votre vie. Le travail permet de tisser des liens sociaux qui vous boostent et vous donnent le courage de persévérer.

* Estime de soi : 

Le travail peut contribuer à l'estime de soi en permettant de développer des compétences et de se sentir utile. En travaillant, vous rendez service à votre entreprise, mais également à vous-même. Le travail vous permet de découvrir vos qualités et votre capacité à accomplir les missions qui vous ont été assignées. Ce qui permet de renforcer votre estime et votre confiance en soi.
 
  • Effets sur la santé physique :

* Activité physique : 

Certains types de travail peuvent impliquer une activité physique, ce qui est bénéfique pour la santé cardiovasculaire, la musculature et le bien-être général. Le travail laisse souvent très peu de temps pour faire du sport. Et pourtant, le sport est important. C’est l’occasion non seulement pour vous de vous maintenir en forme, mais aussi de diminuer le stress du travail. Alors, si votre travail exige une activité physique, estimez-vous heureux ! C’est une chance de pouvoir combiner le travail et un mode de vie sain en même temps !

* Stimulation cognitive :

 Le travail peut stimuler le cerveau et prévenir le déclin cognitif. 

* Assurance maladie :

 Avoir un travail permet souvent d'avoir une assurance maladie, ce qui est important pour l'accès aux soins. L’assurance maladie peut couvrir la totalité ou une partie des frais médicaux en cas de maladie. Ce qui est un avantage non négligeable surtout dans un contexte sanitaire où l’accès aux soins de santé n’est pas facile.  
 
* Meilleur niveau de vie : 

Un emploi stable permet d'avoir un meilleur niveau de vie, ce qui peut avoir des effets positifs sur la santé mentale et physique. La rémunération est la motivation et la satisfaction pour le travailleur. Elle permet de gagner de l’argent afin de pouvoir satisfaire ses besoins économiques et sociaux. Ce qui contribue à une amélioration du niveau de vie.
 
Il est important de noter que les effets du travail sur la santé peuvent varier en fonction de plusieurs facteurs, tels que le type de travail, les conditions de travail, et l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée.
Un travail stressant ou qui demande trop d'heures peut avoir des effets négatifs sur la santé mentale et physique. Il est donc important de trouver un travail qui vous convient et qui vous permet de maintenir un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée.


Si vous avez la mauvaise habitude de reporter les tâches ou les activités que vous devez réaliser aujourd’hui systématiquement le lendemain, vous êtes victime de ce qu’on appelle la procrastination. Elle correspond tout bonnement à la tendance à ajourner et à remettre au lendemain des tâches ou des actions qui pourraient être faites dans l'immédiat. Dans le langage de tous les jours, les personnes utilisent des termes comme « remettre au lendemain », « remettre à plus tard », « repousser », « retarder », « reporter » et « attendre à la dernière minute ».
 
Les raisons qui vous poussent à adopter une telle attitude sont nombreuses et parfois diverses. Cela peut être dû à un manque de motivation et d’envie, un manque de temps, un défaut d’organisation, manque de concentration, surcharge de travail, stress, ambition démesurée, perfectionnisme… Cependant, vous pouvez vous départir de la procrastination. 
 
Voici ci-dessous quelques astuces à utiliser pour vous débarrasser de la procrastination si vous en êtes victime !
 
Pour contrer la procrastination, la première chose à faire est de dresser une liste des activités !
 
Chaque jour, dans votre travail, vous réalisez plusieurs tâches. Ainsi, il faut dresser une liste des tâches que vous devez faire la journée, la semaine, voire le mois en fonction des circonstances en commençant toujours par les tâches prioritaires. Cela pour vous permet de vous fixer des objectifs à atteindre chaque jour et ne pas dépasser les limites. Vous devez également fixer un temps précis pour chaque tâche en évitant de surestimer ou de sous-estimer le temps que vous avez défini. La liste des tâches à réaliser et la durée dans laquelle elles doivent être faites vous permet d’être efficace et plus motivé en atteignant vos objectifs un par un.
 
Évitez toute sorte de distraction !
 
Si vous avez des tâches quotidiennes à faire au bureau ou à la maison, vous devez éviter de vous distraire au risque de retarder les échéances et de reporter. Au moment de l’exécution de vos tâches, vous devez uniquement vous focaliser sur ça et éviter tout acte qui pourrait vous déconcentrer et vous distraire. Par exemple, en faisant votre travail, il n’est pas recommandé de vous connecter sur les réseaux sociaux qui constituent une source de distraction à moins qu’ils soient utiles pour votre travail. Apprenez également à dire « non » à quelqu'un qui vient vous distraire, en signalant par exemple clairement que vous devez rédiger ce gros rapport dès maintenant.
 
Identifiez le moment de la journée où votre concentration atteint un niveau maximal !
 
Travailler toute une journée n’est pas une mince affaire, car cela nécessite beaucoup de concentration et de motivation. Par contre, il y a un moment de la journée où votre concentration atteint son paroxysme et c’est à ce moment-là que vous devez réaliser le maximum de tâches puisque la motivation et l’envie sont au bon fixe. Vous devez savoir à quel moment de la journée, vous êtes capable d’atteindre ce niveau et y prévoir le maximum de tâches possibles pour éviter de retarder certaines activités et les repousser jusqu’au lendemain.
 
Prenez des pauses pour vous détendre !
 
Il est souvent difficile d’enchaîner des tâches toute la journée sans vous fatiguer ou perdre la concentration qui ne dure généralement que 45 à 60 minutes. Au-delà de ce temps, votre niveau de performance va baisser, car vous commencez à vous déconcentrer, d’où l’importance de prendre des petites pauses de 5 à 10 minutes pour vous détendre et souffler. Cela vous permet de renouveler votre concentration et votre motivation pour continuer votre travail. Pour ce faire, vous pouvez par exemple vous lever pour faire les 100 pas, aller boire du café, regarder ou écouter quelque chose qui vous fera évader ou rire pour oublier pour un laps de temps que vous êtes en train d’exécuter des tâches. Les multiples petites pauses vous permettent de ne pas perdre la concentration, de ne pas vous fatiguer pour atteindre les objectifs du jour et par ricochet éviter de reporter certaines tâches prévues à l’instant, au lendemain ou à plus tard.
 
Ne tombez pas dans le piège du perfectionnisme !
 
Parfois, les procrastinateurs chroniques sont en fait des perfectionnistes. Dans ce cas, la volonté et le désir de délivrer un travail parfait engendre effectivement une pression importante, qui peut mener à la procrastination. Toutefois, le perfectionnisme, comme la plupart des autres types de procrastination au travail, peut être surmonté grâce à un meilleur niveau de clarté. Si vous avez défini les tâches que vous devez faire ainsi que les objectifs clairs à atteindre pour chaque tâche, vous serez en mesure de savoir à quel moment vous arrêter et ainsi éviter de dépasser les limites. Car en réalité, vous devez être conscient qu’une œuvre parfaite n’existe pas et qu’il y aura toujours des choses à améliorer.
 
Définissez la notion de travail « terminé » !
 
Pour lutter contre le perfectionnisme, vous pouvez également définir ce que signifie un travail « terminé ». Il s’agit d’une technique que les équipes Scrum utilisent pour avancer rapidement. En définissant la notion de travail terminé, et en vous y tenant, vous savez à partir de quel moment vous pouvez arrêter de travailler, que le travail soit ou non parfait à 100 %. En cas de doute, gardez à l’esprit qu’un travail terminé vaut mieux qu’un travail parfait !
 
Vous pouvez recourir à ces techniques pour vous débarasser de la procrastination et atteindre vos objectifs  dans l’exécution de vos activités quotidiennes. 
Mais attention à ne pas créer l’effet inverse, c'est-à-dire la "précrastination" qui consiste à avoir l’envie de finir ses tâches le plus rapidement possible au risque de confondre vitesse et précipitation 😉.


Être une femme sénégalaise est un véritable casse-tête! 
Mais lorsqu’on opte pour allier carrière professionnelle et vie familiale, les choses se compliquent encore plus. 
Eh oui, même si de plus en plus, les femmes désertent la vie de femme au foyer afin de travailler pour subvenir à leurs besoins et s’épanouir, la société continue à leur exiger d’investir les mêmes efforts dans la gestion du foyer. 
Sauf que, réalistiquement, il est difficile d’allier travail à temps plein et gestion de toutes les tâches de la maison. 
Celles qui ont essayé ont essuyé un burn-out! 
Alors, que faire? Faut-il renoncer à l’un et se consacrer entièrement à l’autre? 
C’est une solution pour certaines. Mais renoncer à la vie professionnelle ou à la vie familiale est un choix extrême et difficile qui peut être lourd de conséquences. 
A la place, il peut être plus judicieux d’essayer de les allier. Mais pour cela il est important d’avoir des stratégies mais surtout le bon mindset. 
Voici ce que vous devez garder en tête pour réussir le défi. 
 
Vous ne pouvez pas tout faire, soyez réalistes ! 

Beaucoup de femmes se mettent beaucoup de pression pour répondre à toutes les attentes de la société. 
Etre une bonne épouse, une bonne mère, une bonne femme d’intérieur suppose de gérer le ménage de sa maison, laver les habits, repasser, laver les enfants, les habiller, leur faire à manger et les nourrir, les éduquer, les surveiller, gérer les plaisirs de son mari, s’occuper de sa belle famille, s’occuper de ses parents, ne pas délaisser ses amis, ses voisins et sa famille, avoir sa maison propre en tout temps, être soi-même belle, bien mise et souriante en tout temps…. On pourrait continuer des heures. 
Sauf que si vous travaillez, il faut accepter que vous ne pourrez pas tout faire, tout le temps. Vous pourrez faire certaines choses de temps en temps. Mais le reste du temps, il faudra accepter de vous appuyer sur les autres pour effectuer certaines tâches. 
Il n’y a aucune honte à ne pas avoir le temps d’aider les enfants à faire leur devoir. Le papa peut aussi aider, sinon, vous pouvez embaucher un répétiteur qui viendra faire cette tâche. 

Si vous ne pouvez pas faire le ménage ou à manger, vous pouvez employer quelqu’un pour le faire. Vous n’en serez que plus utile à la société car vous créez de l’emploi 😉
Oui, une bonne épouse doit traiter son époux comme un roi. Mais saviez-vous que les femmes des rois étaient appelées reines et que les reines ne faisaient absolument rien car elles étaient entourées de servantes?  😉
Alors, ne vous torturez plus l’esprit. Faites ce que vous pouvez faire, organisez-vous pour que le reste soit fait. 
 
Apprenez à prioriser selon les situations ! 

Votre travail comme votre vie familiale sont très importants. 
Certains jours, votre travail prendra plus le pas sur votre temps et votre attention que votre vie familiale et d’autres jours, ce sera l’inverse. Et c’est tout à fait ok. L’équilibre parfait n’existe pas. N’en faites pas votre objectif. 
Il arrivera des périodes au travail où on va beaucoup compter sur vous, ou vous aurez peut-être une opportunité à saisir. 
Dans ce cas, faites en sorte de bien expliquer à votre partenaire et vos enfants les enjeux du moment afin d’avoir leur soutien et consacrez vous sans culpabilité aux impératifs professionnels. 
De la même manière, lorsqu’une situation familiale exige toute votre attention, parlez à votre employeur afin d’avoir son aval et soyez présents pour votre famille. 
Ce n’est que de cette manière que vous pourrez faire cohabiter vos deux vies. C’est avant tout une histoire de jonglage et de routines à poser. 
 
Apprenez  à dire non !

Savoir dire non va vous sauver la vie. Les femmes souffrent souvent du syndrome de la superwoman qui veut tout faire, sauver tout le monde et recevoir les félicitations de tous. Si vous souffrez de ce syndrome, vous serez toujours celle à qui on demande encore et encore des services, au boulot comme à la maison. Sauf qu’il faut connaître ses limites et savoir dire non, quand il le faut. A vous d’évaluer ce que vous pouvez faire et ce que vous ne pouvez pas faire. 
Apprenez à dire non, et vous verrez que très vite, votre agenda sera plus facile à gérer. 

Prenez du temps pour vous !

Il est important que toute votre énergie ne soit pas distribuée entre ce que vous devez faire pour votre famille et ce que vous devez faire au travail. 
Prenez aussi du temps pour vous, pour vous ressourcer. 
Les femmes ont en réalité très peu de temps de repos, contrairement aux hommes. 
Le soir, après une dure journée de travail, elles doivent rentrer s’occuper des enfants, de la maison et du mari. 
Les week-end ou leurs congés, elles l’utilisent souvent pour gérer les tâches ménagères qu’elles n’ont pas le temps de faire habituellement et consacrer plus de temps à leurs enfants. 
Sauf qu’un être humain n’est pas une machine. Il est important de prendre parfois du temps pour soi, pour se ressourcer, retrouver un peu d’énergie. Retrouver un peu de calme intérieur. 
Alors, que ce soit pour quelques heures, une ou plusieurs journées, n’hésitez pas à vous organiser de temps à autre des petits moments d’escapades et de farniente pour recharger la batterie afin de revenir plus forte affronter les défis du quotidien. 
 
Choisissez le bon partenaire ! 

Last but not least (le dernier mais pas le moins important), si votre ambition est d’allier vie perso et vie pro, il est très important de bien choisir votre mari. 
Avant de vous marier, discutez de vos projets de vie. Assurez-vous que vous êtes bien alignés et que vous aurez le soutien de votre partenaire. 
Un époux qui comprend l’importance de votre travail va vous soutenir, vous encourager et vous soulager de certaines pressions de sorte que vous serez vraiment à l’aise au quotidien, pour poursuivre vos ambitions professionnelles. 
L’implication de votre partenaire et la solidarité mutuelle que vous allez développer vous permettront de construire un foyer prospère. 
Alors, ne négligez pas d’aborder la question de la vie professionnelle avant le mariage, pour éviter des surprises désagréables une fois l’union célébrée. 


Qu’est-ce qu’un bon leader ?

Un bon leader est-ce simplement un bon manager ? Quelles sont les qualités qui font de vous un bon leader ?
Voici autant de questions qui méritent des éclaircissements afin de reconnaître un bon leader ! 
 
Si certains sont des leaders naturels grâce à leur charisme et leur personnalité, d’autres ont besoin de développer leur leadership ! Au sens général, le leader est celui qui détient le poste le plus haut sur le plan hiérarchique dans une entreprise, un parti politique, un mouvement syndical, une famille… Mais au-delà du poste, le leader est également celui qui détient des compétences personnelles en matière de management, qui, à l'intérieur d'un groupe, prend la plupart des initiatives, mène les autres membres du groupe, détient le commandement. Un leader est également un individu qui influence un groupe de personnes à réaliser un objectif commun

Ces compétences sont parfois propres à l’individu qui le détient naturellement mais c’est possible également de les développer en renforçant ses capacités de leadership pour devenir un bon meneur d’hommes . Un leader ne se contente pas de gérer efficacement les membres de son équipe pour qu’ils accomplissent leurs missions de manière performante, il va bien au-delà de ces fonctions.  C’est un visionnaire respecté, inspirant qui est suivi et soutenu dans les bons comme dans les mauvais moments. 
Souhaitez-vous devenir un bon leader ? Voici quelques compétences à développer pour renforcer votre leadership et ainsi devenir un bon leader : 
 
 
  • Un leader c’est avant tout un bon communicateur !

La maîtrise de l’art de la communication est une des caractéristiques fondamentales d’un bon leader. Ce dernier a toujours besoin de communiquer avec les autres, d’avoir le sens de l’écoute mais également la capacité de faire imposer ses idées et ses arguments grâce à l’art de la persuasion. Un leader doit être capable de communiquer de différentes manières, selon le contexte. Le leader doit être en mesure d’écouter activement ce qui se dit et de communiquer avec un large éventail de personnes, et ce, peu importe le rôle et l’identité sociale. La qualité et l’efficacité de la communication au sein d’une organisation ont également une incidence directe sur le succès de la stratégie commerciale de l’entreprise.
 
  • L’intégrité !

Si vous êtes à la tête d’une équipe dans une entreprise, votre intégrité et votre impartialité sont toujours mises à rude épreuve. Dans un tel contexte, vous affirmez votre leadership en disant toujours la vérité à vos collaborateurs et en assumant toujours vos responsabilités peu importe les conséquences. L’intégrité est l’une des clés de la confiance que vous accorde ou non les personnes qui vous entourent. Un bon leader, plus que quiconque, se doit de communiquer avec transparence et sincérité dans toutes les situations. Il doit savoir encourager en cas de réussite mais aussi et surtout assumer les erreurs en cas d’échec, sans travestir la réalité. L’intégrité est souvent considérée comme la simple vérité ou l’honnêteté, mais dans de nombreux cas, elle signifie aussi posséder et respecter un ensemble de valeurs fortes. L’intégrité en milieu de travail signifie souvent être capable de faire des choix éthiques et aider l’entreprise à conserver une image positive. Toutes les entreprises cherchent à embaucher des travailleurs intègres. Avoir de l’intégrité en tant que leader encourage non seulement des pratiques et des résultats les plus honnêtes et plus justes, mais envoie aussi un message fort et positif à toute l’équipe.
 
  • La confiance en soi ! 

La confiance en soi est un atout majeur qui vous permet de réaliser vos rêves et d’atteindre vos objectifs surtout si vous êtes le leader dans une entreprise. Vous devez d’abord montrer à votre équipe que votre confiance en vous-même est totale pour leur permettre de se mettre également en confiance. Cette confiance se traduit par l’image et l’attitude que vous avez vis-à-vis de vos collaborateurs. Afin de mettre en place une organisation efficace, d’analyser des situations rapidement, de prendre les bonnes décisions rapidement et d’entretenir la motivation des équipes, le leader doit être particulièrement confiant. Il ne doit en aucun cas douter de ses choix ni de ses actes. C’est cette confiance en lui qui lui permettra de mettre en œuvre toutes ses autres qualités et de prouver ses capacités.
 
  • La capacité à prendre des décisions !

La prise de décision rapide est une qualité rencontrée chez tous les grands leaders. Lorsqu’un leader se trouve en difficulté, c’est sa rapidité de réaction, d’improvisation et sa capacité à prendre une décision qui vont lui permettre de régler les différents problèmes rencontrés. Il doit être capable de décider à chaud et d’argumenter ensuite afin de justifier ses choix. Cela nécessite bien entendu une capacité d’analyse supérieure, qui permet au leader d’établir rapidement une stratégie efficace en fonction de ses observations. La prise de décision est considérée comme une compétence clé en leadership, car elle contribue à faire avancer les projets plus rapidement. Vous devez montrer à votre équipe que même si vous êtes prêt à prendre des risques, vous n’êtes pas une personne « irréfléchie » qui prend des risques au hasard sans en mesurer les conséquences. L’équipe doit être consciente que toutes les décisions que vous prenez sont le fruit d’une réflexion sur la base des informations et dans l’intérêt de l’entreprise. 
 
  • Avoir le sens de l’écoute !

Le leader est celui qui se renseigne sur la situation des membres de son équipe et qui recueille leurs idées et préoccupations avant de prendre une décision. Il se doit de faciliter l’échange avec son équipe pour les mettre en valeur.  Pour un leader, être à l’écoute permet d’une part d’en savoir plus sur ses collaborateurs, de mieux les comprendre et donc de réussir à s’adapter aux uns et aux autres. D’autre part, l’écoute permet d’instaurer un climat bienveillant où les salariés ont envie de travailler. Le collaborateur sait ainsi que lui aussi a son mot à dire et qu’il est entendu par son supérieur hiérarchique. Résultat, il se sent en confiance pour prendre des initiatives et participe pleinement au développement de son entreprise. 
Ce sens de l’écoute est facilité par l’ouverture d’esprit et l’humilité dont doit faire preuve le leader devant ses collaborateurs. 

La liste est loin d’être exhaustive certes, mais vous pouvez vous appuyer sur le développement de ces compétences pour devenir un excellent leader !


Rêver qu’on vienne te débaucher

Beaucoup de professionnels ont envie de changements, d’avoir accès à de meilleures conditions de travail.
Malheureusement, souvent ils ne passent pas à l’action. Ils attendent qu’une personne vienne en sauveur leur proposer un job de rêve qui va enfin les libérer de leur calvaire quotidien.
La réalité, c’est que la probabilité que tu te fasses débaucher est souvent faible. Surtout si tu as tendance à rester cloitré entre les murs de ton organisation.
Les personnes qui se font débaucher, sont les personnes dont le travail est visible.
Certaines montrent ce qu’elles savent faire à travers les réseaux sociaux. D’autres ont la chance de collaborer avec des personnes externes à leur organisation, dans des situations qui montrent leur savoir faire.
Si tu n’es pas dans ces cas, il y’a très peu de chances qu’un prince sur son cheval blanc vienne te sauver.
 
Ne pas te renseigner sur ce que le marché offre

Lorsque l’on n’est pas à l’écoute du marché, on va forcément rater de belles offres d’emploi.
Si tu veux trouver un meilleur job, il faut être proactif et aller vers l’information.
Cela suppose d’aller régulièrement sur les sites de recherche d’emploi et réseaux sociaux et consacrer un temps à la recherche des offres dans ton domaine.
Cela suppose également des échanges avec des personnes en mesure de te tenir informé en cas de nouvelle opportunité.
Avoir la bonne information, c’est le premier pas vers la réalisation de ton souhait de changement.
 
Ne pas avoir un CV qui te valorise
On pense souvent à tort que les débutants sont les seuls à avoir du mal avec l’exercice de rédaction du CV.
La plupart des professionnels ont des CVs qui ne sont pas du tout vendeurs.
Comment est-ce possible, me direz-vous?
En réalité, personne n’apprend aux gens à faire un CV. Souvent, lorsqu’une personne veut élaborer son CV, elle va aller prendre un modèle chez une connaissance ou sur Internet. Elle va l’adapter en reproduisant tout ce qui était fait dans le modèle.
Cela implique qu’elle reproduit les mêmes maladresses.
La plupart des CVs sont rédigés comme des historiques de tout ce que la personne a eu à faire.
Mais c’est là l’erreur.
Un professionnel, doit avoir un CV qui met en valeur ses compétences clés et surtout ses réalisations en rapport avec le job pour lequel il/elle postule.
Si votre CV n’est pas compétitif, vous ne passerez pas le cap de la sélection à l’entretien.
Si votre recherche ne donne pas de résultats, c’est peut-être du à votre CV (et d’autres facteurs). Pour en avoir le coeur net et savoir quoi corriger n’hésitez pas à solliciter notre service diagnostic!
Et si vous savez déjà qu’il n’est pas à la hauteur de vos ambitions, n’hésitez pas à vous faire accompagner.
 
Ne pas savoir se vendre

La plupart des personnes savent faire des choses, mais ne savent pas comment valoriser ce qu’elles font.
Elles ont du mal à se mettre en avant. 
Et beaucoup de mal à distinguer ce qui est à mettre en avant dans ce qu’elles font/ont eu à faire.
On s’en rend particulièrement compte en entretien d’embauche.
Des professionnels, avec plusieurs années d’expérience, qui éprouvent beaucoup de mal à convaincre le recruteur qu’ils seraient à la hauteur des défis d’un poste similaire à celui qu’ils occupent/ont occupé, c’est très courant.
Pour donner envie à votre vis-à-vis de vous recruter, il faut savoir vous vendre. Comprendre ce que l’autre recherche et détecter les correspondances dans ses propres compétences et expériences est très important.
Il faut savoir se poser les bonnes questions.
Faire son bilan de compétences.
Comprendre les bases de la communication et les appliquer.
Savoir vous vendre vous aidera non seulement à savoir quoi valoriser dans vos documents de candidature, mais également à vous défendre à l’entretien.
 
Te laisser gagner par la démotivation 
Lorsqu’on veut changer de travail, il arrive que ce soit suite à une démotivation.
Sauf que la démotivation, elle a des conséquences souvent désastreuses sur nos choix et comportements.
En effet, lorsqu’on est démotivé, on peut très vite se retrouver à prendre de mauvaises décisions, car obnubilés par les sentiments négatifs qu’on éprouve envers son travail. On ne veut qu’une chose, partir.
La conséquence pour certains, c’est qu’il vont partir à la première occasion, sans prendre gare de s’assurer que la nouvelle situation (chômage ou nouvel emploi) dans laquelle ils se lancent, offre de meilleures conditions d’épanouissement que la précédente.
Il arrive également que la démotivation rende certaines personnes complètement avachies. Elles n’ont plus goût à rien. Au point où elles ne trouvent même pas l’énergie et la motivation de chercher activement un autre emploi.
Pour d’autres, encore, le problème qui va se poser, et qu’elles vont adapter un comportement négatif et pas professionnel pour exprimer leur démotivation.
Cela va se traduire par de mauvais résultats, des relations parasitées avec le manager. La personne ne souhaitant plus rester, se fiche de l’impression qu’elle va laisser.
Sauf que le problème, c’est que vous pouvez bien trouver une meilleure proposition, mais imaginez que vous ayez besoin de recevoir la référence de votre manager pour valider le recrutement du poste que vous avez trouvé. Pensez-vous qu’il ou elle fournira une appréciation positive alors que vous avez fait preuve de mauvaise volonté?
 
Comment ne pas être démotivé lorsqu’on veut quitter son emploi, vous demandez-vous! 
Relativiser les choses, se concentrer/penser à ce qu’on aime dans son emploi, travailler bien parce qu’on le fait avant tout pour nous même et non pour les autres, sont des techniques qui vous permettront d’avancer sereinement, jusqu’à l’aboutissement de votre projet.