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L’essentiel à savoir sur tes congés maternité au Sénégal

Si tu es une femme et que tu as un CDD ou un CDI dans une entreprise de la place, tu auras droit à un congés de maternité. C’est la loi qui le prévoit, donc ton employeur ne peut pas te le refuser. 
 
Le congé de maternité, c’est une période durant laquelle tu pourras suspendre tes activités professionnelles pour te consacrer à la fin de ta grossesse/l’arrivée de ton bébé. 
Il dure 14 semaines dont 6 semaines avant l’accouchement et 8 semaines après. 
Attention, pour certaines personnes, les congés ne durent pas effectivement 14 semaines. En effet, dès la date d’accouchement, on considère qu’il ne te reste que 8 semaines. Si par exemple tu accouches 2 semaines après la date de début de tes congés (au lieu de 6 après) tu vas perdre les 4 semaines restantes et le compte à rebours des 8 semaines après accouchement démarrent. 😅
 
 
Durant ta période de congés, l’entreprise ne te paie pas de salaire. C’est la Caisse de sécurité sociale qui va te verser des indemnités calculées à raison de la moitié du salaire journalier effectivement perçu lors de la dernière paie.
 
Mais pour recevoir ces indemnités il faudra d’abord que tu déposes un dossier auprès de la Caisse de sécurité sociale.  Attention ! Le traitement du dossier prend du temps. Il faut s’y prendre au plus tôt (au moins 2 mois avant la date de congés) pour t’assurer de ne pas avoir de rupture brutal niveau rentrée d’argent. 
 
 
Pour constituer le dossier, tu peux aller dans n’importe quelle Caisse et demander un formulaire. Il faudra le remplir avec l’aide de ton employeur et y joindre les pièces justificatives demandées. Certaines de ces pièces devront être délivrées par l’employeur et d’autres par le médecin. 
 
 
Contact de la Caisse de Sécurité Sociale 
 
Caisse de Sécurité Sociale :
Siége social : Place de L'OIT
BP 102 - Dakar
Téléphone : 33 889 19 89
E-mail:caisse@secusocial.sn

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Quand tu veux arrêter ton travail au Sénégal, il y a des règles à suivre. Voici ce qu'il faut savoir :    Pour les contrats à durée indéterminée (CDI) :   1. Préavis   Si tu veux partir, tu dois prévenir ton employeur à l'avance par écrit. Tu ne peux pas mettre de conditions. Le préavis commence dès que tu as prévenu ton employeur. Tu dois dire pourquoi tu pars. Si rien n'est précisé dans une convention, il y a des règles définies par un décret.     2. Devoirs pendant le préavis    Pendant le préavis, toi et ton employeur devez faire votre travail comme d'habitude. Tu as droit à deux jours de repos payés par semaine pour chercher un autre travail.     3. Indemnité de préavis    Si tu ne respectes pas le préavis, tu devras payer à ton employeur une somme correspondant à ton salaire et à tes avantages pendant le temps de préavis manqué.     4. Licenciement pour faute grave    Si tu as fait quelque chose de très grave, ton employeur peut te licencier sans préavis, mais cela doit être confirmé par la justice.    5. Rupture abusive   Si ton employeur ou toi-même rompez le contrat sans respecter les règles, la personne responsable devra payer des dommages-intérêts. Le tribunal décidera du montant en fonction de ce qui s'est passé.      Autres choses à savoir :    6. Congé et indemnité   Si tu es en congé quand tu pars, tu recevras une somme en plus.    7. Responsabilité des nouveaux employeurs   Si tu as quitté un travail de manière abusive et que tu en trouves un autre, ton nouvel employeur pourrait avoir des problèmes s'il savait que tu avais rompu ton ancien contrat de manière incorrecte.    8. Certificat de travail   À la fin de ton travail, ton employeur doit te donner un papier qui dit depuis quand tu as travaillé là-bas, les postes que tu as occupés, et d'autres informations importantes.     9. Renseignements corrects   Ton employeur ne peut pas dire des choses fausses sur toi à d'autres entreprises.     En respectant ces règles, tu pourras arrêter ton travail correctement au Sénégal.
Quelles sont les ressources-clés pour entreprendre et réussir ? Quelles ressources mobiliser pour créer une entreprise ? Comment intégrer mes ressources-clés dans mon business model ?   Entreprendre suppose de disposer d’un certain nombre de ressources en vue de les exploiter pour créer de la valeur.   Les ressources-clés font partie des fondamentaux de votre création d’entreprise : il s’agit des moyens matériels et immatériels sans lesquels vous ne pouvez assurer un démarrage correct et la pérennisation de votre activité.   Faites le point sur les ressources-clés dont vous disposez et, surtout, sur celles qui vous font défaut.   Interrogez-vous : de quelle manière pourriez-vous acquérir celles qui vous manquent, et à quel coût ? Heureusement, il y existe de nombreuses manières de pallier à un défaut de matériel, de compétence, d’information ou d’argent :   • l’échange, • le prêt, • la récupération, • l’achat d’occasion, • la création par soi-même, • ou encore la mobilisation de son réseau.   Voici les 4 ressources-clés, essentielles pour entreprendre.   Les 4 ressources-clés pour entreprendre.   Il existe 4 types de ressources dont un entrepreneur doit disposer s’il veut assurer la réussite de son projet. Les voici.   1) Les ressources matérielles.   Il s’agit des actifs matériels, tels que les moyens de production, les locaux commerciaux, les moyens logistiques (transport, stockage…), ou encore le matériel professionnel.   Par exemple : Vous décidez de lancer une entreprise dans le secteur de la création visuelle et numérique (infographie, webmastering, production et montage vidéo). Vos besoins en ressources matérielles pourraient être :   • un local, • une imprimante professionnelle multifonction, • deux ordinateurs performants, • une tablette graphique, • du matériel de captation sonore, • une caméra, • un micro lavallière, • un micro perche, • un boitier d’enregistrement, • une ligne téléphonique professionnelle, • etc.   Certains créateurs d’entreprise disposent de certaines de ces ressources au départ, sans même avoir à les acquérir. Cela constitue une réelle opportunité.   2) Les ressources intellectuelles et les compétences.   Parmi ces ressources essentielles on trouve :   • les savoirs : par exemple la connaissance du métier, • les compétences ; voir notre article Les 10 compétences entrepreneuriales essentielles, • la propriété intellectuelle, c’est-à-dire le fait de posséder une marque, un dessin, un brevet, ou encore une licence, • la possession d’informations stratégiques ou de données, par exemple les résultats d’une étude de marché, • la possession de logiciels adaptés à l’activité.   On parle ici de savoir, d’information et d’organisation de l’information. Autant de ressources cruciales pour l’entreprise qu’il est possible d’acquérir par l’expérience, en se formant, ou en encore en faisant appel à des ressources humaines extérieures.   3) Les ressources humaines.   Beaucoup de créateurs d’entreprise se montrent polyvalents et « multitâches » au démarrage. Mais ils s’aperçoivent rapidement qu’ils ont besoin de mobiliser d’autres ressources humaines afin d’accéder à d’autres ressources intellectuelles ou compétences, et d’accélérer leur développement.   Il apparaît donc opportun d’intégrer à votre modèle économique vos besoins en ressources humaines présents et à venir.   Les ressources humaines concernent vos employés bien sûr, mais aussi :   • vos fournisseurs, • vos sous-traitants, • votre réseau personnel, • vos partenaires, • ou encore vos associés. Insistons sur l’importance du réseau, qui concentre énormément de ressources utiles et facilement accessibles. Sachez mobiliser les gens qui vous entourent !   4) Les ressources financières.   Le financement d’un projet entrepreneurial concerne les besoins financiers au démarrage et tout au long de la vie de l’entreprise. Il faut en effet prendre en considération l’évolution des besoins due au développement de l’entreprise.   Il s’agira de faire la liste des dépenses de démarrage, d’évaluer le besoin en fonds de roulement et le niveau de trésorerie nécessaire au départ.   Il faudra ensuite se pencher sur les sources possibles et les contraintes liées au financement. Parmi les ressources de financement envisageables, notons :   • l’apport personnel, • le prêt familial, • le love money, • le prêt bancaire, • les prêts d’honneur, • le financement participatif, • les levées de fonds, • les aides à la création d’entreprise, • l’auto-financement, • ou encore l’entrée d’associés.   Comment intégrer les ressources-clés dans son business model ?   Une fois listées les ressources-clés dont vous avez besoin pour entreprendre, il s’agira de les intégrer dans votre business model.   Pour ce faire, le Business Model Canvas (BMC) est sans doute l’outil le plus accessible et le plus efficace. En tant qu’outil stratégique évolutif, il vous apportera une vision globale de votre projet. Voir notre modèle gratuit à télécharger : Business Model Canevas gratuit à télécharger Au final, faire le point sur les ressources-clés pour entreprendre c’est préparer sa stratégie sur le long terme, en accordant une place centrale aux aspects organisationnels. Une méthode salutaire ! Des outils Excel pour votre petite entreprise (gratuit).   WikiCréa met à votre disposition des outils Excel gratuits :   • un modèle de plan financier, facile à compléter : cliquez ici pour y accéder, • un facturier permettant d’établir devis et factures : cliquez ici pour y accéder, • un livre de recettes, obligatoire pour les auto-entrepreneurs : cliquez ici pour y accéder, • un suivi de trésorerie : cliquez ici pour y accéder.  
Depuis les dernières années, tout le monde s’inquiète de la sécurité des données. Et pour cause : presque chaque semaine, une société ou un organisme est victime d’une fuite de données. Mais bien que les entreprises soient responsables de protéger vos données, en tant qu’individu, vous devez prendre des mesures pour les sécuriser. Particulièrement lorsque vous cherchez un emploi (notamment sur les réseaux sociaux). En effet, pour répondre à une offre, on doit souvent confier des renseignements personnels comme nos coordonnées, notre adresse et notre nom.  Une menace bien réelle si ces informations personnelles tombaient par malheur entre de mauvaises mains. Mieux vaut donc faire preuve de bon sens et suivre les bonnes pratiques en matière de sécurité des données lorsque l’on cherche du travail.   1. Eviter les réseaux ouverts lorsqu’on cherche un emploi   Bien des cafés offrent l’accès à un réseau Wi-Fi pour naviguer gratuitement sur l’internet. Pour veiller à la sécurité de vos données, évitez à tout prix ces réseaux ouverts. Bien que le risque soit faible, vos données pourraient malgré tout être compromises. Si vous devez téléverser rapidement votre CV pour postuler à un emploi d’ailleurs que chez vous, utilisez le forfait de données de votre téléphone en activant la fonction de partage de connexion, que vous aurez protégée par mot de passe. Protégez aussi vos transmissions Bluetooth par mot de passe, car c’est un autre moyen facile d’accéder à vos données privées. Lorsque vous utilisez une connexion internet ouverte et gratuite, limitez vos activités aux plus simples. Évitez de remplir une demande d’emploi et de transmettre des tonnes de renseignements vous concernant, et d’effectuer des opérations bancaires ou des achats en ligne qui mettraient vos informations sensibles à découvert.   2. Ne pas inscrire de renseignements personnels sur votre CV   Abstenez-vous d’inscrire sur votre CV des renseignements qui pourraient être utilisés pour pirater vos comptes personnels. Votre date de naissance, votre numéro de sécurité sociale, le nom de jeune fille de votre mère et tout élément qui pourrait être associé à des mots de passe ou des questions de sécurité sont particulièrement convoités. Votre adresse postale fait aussi partie des données recherchées. Si vous avez inscrit votre numéro de téléphone et votre adresse courriel sur votre CV, les employeurs potentiels les utiliseront pour vous contacter. L’ajout de votre adresse postale est inutile. Elle permet surtout à certains employeurs peu scrupuleux de vous juger en fonction du quartier que vous habitez et pourrait vous exposer à des fraudes si elle tombait entre de mauvaises mains. Si un employeur potentiel vous demande votre adresse, méfiez-vous. Avant votre embauche officielle, il y a très peu de raisons légitimes d’exiger ce renseignement.   3. Répondre uniquement aux offres d’employeurs réputés   Si vous avez besoin d’un emploi rapidement, vous pourriez être tenté de postuler à tout ce qui passe dans l’espoir de trouver une source de revenus. Voilà un comportement risqué. Méfiez-vous d’un contrat sur Kijiji ou d’un poste à temps plein pour une entreprise dont vous n’avez jamais entendu parler, ou dont le site web a l’air suspect. Suivez votre instinct. Si vous vous méfiez, vous avez probablement raison. Les escrocs n’hésitent pas à créer des sites web et des offres d’emploi à des fins malveillantes.  Si vous ne connaissez pas l’entreprise, ou si ça vous semble louche, faites des recherches avant d’envoyer votre CV et vos renseignements personnels.   4. Toujours prévenir quelqu’un lorsqu’on se rend à une entrevue d’embauche   Lorsque vous rencontrez une nouvelle personne, que ce soit pour un rendez-vous ou une entrevue d’embauche, c’est toujours bon d’en informer un ami ou un membre de votre famille. Surtout si ça se passe dans un endroit inhabituel où vous n’iriez pas habituellement. Aujourd’hui, la plupart des premières rencontres et des entrevues se déroulent en public (comme dans un café ou un bureau bondé). Mais si on vous convoque pour un nouvel emploi dans un endroit peu fréquenté, par prudence, dites à quelqu’un où vous allez et à quel moment vous y serez. Il y a de fortes chances que tout se passe bien, et vous aurez quelqu’un à qui en parler après votre rendez-vous.   5. Utiliser des sites d’emploi de confiance   Lorsque vous répondez à des offres d’emploi, faites-le sur des sites que vous connaissez et auxquels vous faites confiance. Des sites tels que LinkedIn et Monster sont bien connus et très probablement sûrs. Ils ont tout intérêt à vérifier les employeurs qui utilisent leurs services et à garantir votre sécurité et celle de vos données. Les agences de recrutement, les sites d’offres d’emploi et les pages Carrière d’entreprises bien connues sont probablement également sûrs. Si vous ne reconnaissez pas le site ou l’entreprise, soyez prudent. Si vous êtes vraiment intéressé par l’emploi, mais que vous doutez de la légitimité du site web, copiez l’annonce dans Google.  Si l’offre est réelle, il y a de fortes chances que vous puissiez la trouver et y répondre sur un autre site plus réputé, car la plupart des employeurs publient leurs offres d’emploi sur plusieurs sites web.   6. Toujours vérifier l’adresse courriel avant de répondre à une offre   Si on vous demande d’envoyer votre candidature par courriel, méfiez-vous. Bien que certains employeurs le demandent occasionnellement, ce n’est pas si courant. De nos jours, la plupart des candidatures se font via un portail web où vous pouvez télécharger vos informations et les vérifier. Si vous êtes invité à envoyer un courriel, vérifiez l’adresse qu’on vous donne.   • Comporte-t-elle le nom de l’entreprise? • Est-il correctement orthographié? • Correspond-il à leur site web?   Examinez les petits détails. Par exemple, si le site web de l’entreprise se termine par .ca et que le courriel contient plutôt .net, ou si le domaine est « nomcompagnie.com » mais que l’adresse courriel a un trait d’union supplémentaire (« nom-compagnie.com »), il pourrait s’agir d’hameçonnage. Méfiez-vous également des courriels génériques provenant de sites tels que Gmail et Yahoo. Les employés d’entreprises légitimes utilisent normalement des adresses électroniques contenant le nom de leur employeur.   7. Faire preuve de bon sens   Voici un conseil éprouvé : si cela semble trop beau pour être vrai, c’est probablement le cas. Si le salaire et les avantages sociaux ont l’air excessivement généreux, c’est suspect. Avant de vous précipiter pour postuler à un emploi, prenez toujours un moment pour analyser la situation et réfléchir. Vérifiez la réputation de l’entreprise sur des sites comme Glassdoor ou Facebook, et visitez leurs pages de médias sociaux.