Retourner aux conseils

5 conseils pour demander une augmentation de salaire !

Les 10 étapes clés pour transformer une idée en entreprise prospère !

Vous est-il déjà arrivé de souhaiter gagner plus d’argent? La réponse est très certainement oui. Lorsqu’on est employé quelque part pendant une certaine durée, il arrive qu’on ressente le besoin de voir son salaire revalorisé. 
Parfois, ce besoin vient du fait que nos responsabilités ont augmenté au sein de l’entreprise. D’autres fois, parce qu’on a contribué fortement à l’atteinte des résultats de l’entreprise et être augmenté est ici une forme de reconnaissance. 
Il arrive également que l’on ressente le besoin d’être augmenté lorsque l’on découvre que nous ne sommes pas payés à hauteur de notre valeur sur le marché local. Enfin, certaines personnes ont simplement besoin d’être augmentées à cause de l’inflation qui pèse sur elles. 
 
Toutes ces raisons sont valides et peuvent être de bons arguments pour initier et soutenir une demande d’augmentation. 
Mais attention, demander une augmentation n’est jamais un exercice facile. L’employeur est un adversaire redoutable durant ce face-à-face, car lui, ça l’arrange bien de continuer à vous payer le même montant. Alors, avant de lui faire face, il faut être bien préparé. Et on vous dit comment vous y prendre.
 
1.  Choisir le bon timing pour soumettre une proposition d’augmentation de salaire !

La demande d’une augmentation de salaire doit être faite au moment opportun. Vous devez tenir en compte vos performances personnelles, mais aussi la santé financière de l'entreprise. Une entreprise peut avoir de nombreuses raisons de ne pas accepter des demandes d'augmentation de salaire surtout si elle traverse des difficultés financières ou est en pleine réorganisation. Vous pouvez également analyser l’état général de votre secteur d'activité pour évaluer si votre entreprise se porte mieux ou pire que ses concurrentes. Une fois que vous avez évalué le montant de votre augmentation et le moment opportun pour la demander, vous pouvez désormais entreprendre les démarches auprès de vos supérieurs.
La plupart des salariés soulèvent le sujet dans le cadre de l’entretien annuel, une période à laquelle tout le monde tend la main pour obtenir sa part du gâteau. Le mieux c’est de le faire quelques mois plus tôt ! Vous pouvez également demander une augmentation après avoir obtenu une promotion dans l’entreprise. 
 
2. Préparez au mieux votre entretien avec des arguments solides !

Pour négocier au mieux votre salaire, il est important de déterminer clairement combien vaut la valeur ajoutée que vous apportez à l’entreprise. Un travail de réflexion est nécessaire pour attribuer une valeur financière à vos compétences et déterminer la somme d'argent que vous devez négocier.
Si après avoir mûrement réfléchi, vous êtes persuadé que votre salaire n’est pas en phase avec vos compétences, votre fonction ou le travail que vous fournissez et que c'est le bon moment alors il est temps de vous lancer pour demander une revalorisation de votre rémunération !
Commencez par dresser une liste de toutes vos compétences et des responsabilités actuelles de votre fonction. Si votre négociation a lieu pendant votre évaluation, faites également le point sur l'année écoulée et les bons résultats obtenus par rapport à vos objectifs car pour convaincre votre interlocuteur, il vous faut des arguments concrets ! 
Ensuite, vous pouvez aussi faire le bilan de tout ce que vous avez apporté à l’entreprise depuis que vous y travaillez. L’objectif étant de rappeler à votre employeur à quel point votre travail lui a été utile durant toutes ces années. De cette manière, vous pourrez plus facilement justifier cette demande d’augmentation de votre rémunération.
 
3. Rendez-vous indispensable au sein de l’entreprise !

Si vous souhaitez obtenir une hausse de salaire, il faut également que votre supérieur y voit des avantages pour lui ! En lui montrant que vous êtes productif, efficace et disponible, votre demande aura plus de chances d’aboutir. Négocier votre augmentation de salaire en proposant de nouveaux objectifs à atteindre peut-être une bonne alternative. Cette proposition justifie d'entamer une négociation pour obtenir une évolution de votre salaire. Et pour cause, les objectifs que vous proposerez à votre employeur seront aussi bénéfiques pour vous que pour lui. Votre entreprise, grâce à votre présence indispensable, devrait être consciente que votre départ pourrait être un coup dur. Ainsi, au risque de vous perdre, l’entreprise fera des efforts pour trouver un compromis qui va vous arranger. 
 
4. Osez demander une augmentation si votre salaire est inférieur au marché !

Si votre salaire est en dessous du marché, il s'agit d'un excellent argument pour négocier une hausse de votre rémunération. Comparez votre salaire à celui des professionnels dans votre domaine et ayant un poste similaire au votre. Pour ce faire, vous pouvez questionner vos collègues ou vos confrères. Si ces derniers sont à l'aise avec cette question, ils pourront vous partager leur salaire. Vous pouvez vous informer davantage sur des baromètres en ligne ou même consulter la grille de rémunération de votre entreprise. 
 
5.  Maîtrisez les techniques de négociation !

Utiliser des techniques de négociation efficaces peut grandement influencer l'issue de votre demande. Il faut accorder de l’importance à la manière dont vous présentez votre situation, en étant clair, concis et persuasif. Il est également important de savoir écouter et de réagir de manière appropriée aux contre-offres ou aux refus. Être flexible et ouvert aux négociations peut parfois mener à un résultat satisfaisant, même si le résultat initial n'est pas exactement ce que vous aviez envisagé.
 
Vous avez désormais tous les outils en main pour réussir votre négociation. Ne vous laissez pas intimider ou découragé à l’idée d’un refus. Osez demander ce que vous pensez mériter car qui ne tente rien n’a rien. 
 

Partager cet article :

Découvrez
des ressources similaires :


La motivation des salariés au travail est un enjeu majeur. C'est une question de bien-être et de performances. Un employé reconnu et impliqué dans sa tâche sera plus productif. Ainsi, il est important de motiver ses salariés afin de tirer le maximum d'eux-mêmes. Vous pouvez par exemple motiver vos salariés en améliorant leurs conditions de travail dans le but de favoriser leur bien-être. Aussi, vous vous assurez que les collaborateurs prennent plaisir à travailler avec vous. Si vous trouvez les clés pour motiver vos équipes, celles-ci vous le rendront en s’investissant toujours plus. Elles vont ainsi plus produire et pérenniser votre entreprise.
 
Voici 20 clés pour améliorer la motivation de ses salariés : 
 
1. Proposer un salaire cohérent
 
Au-delà d’un choix lorsque l’on exerce la profession que l’on aime, travailler est une obligation pour subvenir à ses besoins. Aussi, un salarié bien rémunéré est naturellement plus épanoui dans un quotidien qu’un salarié qui peine à boucler ses fins de mois. Mais c’est également une personne qui se sent reconnue pour l’action qu’elle mène au sein de son entreprise. Rémunération et motivation des salariés sont inévitablement liées.
 
2. Améliorer les conditions de travail
 
Les conditions de travail figurent parmi les principaux facteurs de motivation des salariés. Ils sont plus enclins à contribuer à l’évolution de l’entreprise s’ils travaillent dans une ambiance sereine, au cœur d’une entreprise où ils sont considérés. Mais améliorer les conditions de travail, c’est aussi faire le choix du bon matériel, de sièges confortables, etc. C’est une solution globale pour motiver les salariés sans augmentation de salaire, durant un temps du moins.
 
3. Proposer les meilleurs outils collaboratifs pour travailler
 
Les besoins des salariés doivent être pris en compte. Parmi ceux-ci, citons les outils collaboratifs qui sont aujourd’hui devenus indispensables pour améliorer la gestion des tâches. Un intranet moderne répond aujourd'hui à tous les besoins d'une entreprise en matière de collaboration entre les équipes. Disposer d’outils pour centraliser la gestion des missions, mieux gérer son temps de travail et mieux communiquer permet d’augmenter la productivité.
 
4. Proposer des formations régulières
 
La motivation au travail passe en outre par la connaissance. La formation est un levier majeur qui offre aux équipes de nouvelles compétences. Si cela les valorise, c’est aussi un moyen de les rendre plus performantes. Vous faites ici d’une pierre deux coups en permettant à vos salariés d’être plus efficaces.
 
5. Envisager des perspectives d’évolution
 
Si certains salariés n’ont pas véritablement d’objectifs de carrière, d’autres ne resteront dans votre entreprise que s’ils peuvent envisager une évolution. Vous devrez mettre en place un système de promotion qui permet de gravir les échelons, c’est l’un des fondements de la motivation des salariés au travail. Cela évitera un turn over trop important qui impacterait votre entreprise négativement.
 
6. Souder les équipes
 
Communication et collaboration sont intimement liées. Il existe diverses manières de souder les équipes. D’une part, vous devez leur fournir des outils de communication performants, les outils collaboratifs sont là pour ça. Vous devez aussi envisager une autre forme de communication, notamment via le team building. C’est une solution efficace pour permettre à vos employés de se découvrir dans un autre contexte et comprendre qu’ils ont besoin les uns des autres.
 
7. Savoir féliciter un employé
 
S’il est tout à fait normal de dire à un employé qu’il a mal agi, il est fondamental de savoir le féliciter lorsqu’il a atteint ses objectifs. Les employés de votre entreprise ont naturellement besoin d’être valorisés. C’est l’un des facteurs de la motivation des salariés. Congratuler, c’est augmenter la motivation pour aller encore plus loin et se dépasser afin d'accomplir de nouvelles missions. Une plateforme intranet pour l'engagement de vos salariés permettra aussi de les mettre en valeur et de les féliciter lorsqu'un projet est terminé ou suite à de bons résultats.
 
8. Donner la parole
 
La motivation des collaborateurs est liée à la manière dont on les considère. Un simple exécutant ne va certainement pas s’impliquer de la même manière qu’un employé à qui on donne la parole. Laissez vos salariés s’exprimer sur leurs besoins. Laissez-les critiquer votre organisation. Après tout, la critique est parfois constructive. Permettez-leur de suggérer des idées pour développer votre activité, ce sont eux qui agissent au quotidien : ils peuvent avoir des idées très pertinentes. Et pourquoi ne pas mettre en place un questionnaire sur la motivation des salariés?
 
9. Savoir déléguer
 
La mise en place d’une démarche de motivation des salariés passe également par la capacité à déléguer. Certes, ce n’est pas toujours simple, mais vous devez pouvoir vous appuyer sur vos équipes. Déléguer, c’est leur donner de l’importance, les laisser mener leurs missions comme ils l’entendent et prendre le relais. Une fois de plus, c’est extrêmement valorisant et cela ne peut qu’impacter favorablement votre entreprise.
 
10. Faire confiance à ses collaborateurs
 
La confiance est le maître-mot lorsque l’on parle de motivation des salariés. Comment motiver un collaborateur qui sent qu’on ne lui fait pas confiance? Il ne pourra s’impliquer comme il le devrait et ne sera pas un moteur pour votre entreprise. Parfois, il s’agit simplement d’un problème de communication. Aussi, si vous avez confiance en vos équipes, dites-leur. Des outils de communication intégrés à votre intranet est une solution utilisée par les plus grandes entreprises.
 
11. Offrir des récompenses personnalisées
 
Parmi les outils de motivation des salariés, au-delà du salaire, évoquons les récompenses. Source de motivation, la reconnaissance figure en haut rang. Et pour être reconnu, un employé doit avant tout être connu. Il ne doit pas être une personne parmi tant d’autres. Tentez de connaître vos équipes et offrez-leur des cadeaux personnalisés, ce signe d’intérêt ne pourra qu’être bien perçu.
 
12. Déterminer des objectifs raisonnables
 
Faire face à des objectifs trop élevés peut être déroutant pour les équipes. Le risque est qu’ils échouent systématiquement et qu’ils perdent leur motivation. Pour atteindre les objectifs fixés, il est nécessaire que ceux-ci soient raisonnables. Nul besoin de viser trop haut, cela risque de vous desservir à terme. L’échec peut entraîner la lassitude et engendrer un turn over plus important.
 
13. Instaurer une culture d’entreprise
 
Les salariés ont besoin de s’identifier pour s’investir dans leur entreprise. Aussi, celle-ci doit instaurer une vraie culture, partager son histoire, ses valeurs avec ses salariés. Ils ont besoin de se reconnaître dans cette structure dans laquelle ils passent finalement beaucoup de temps. N’hésitez pas à inclure vos employés dans le développement de l’entreprise et dans le partage de ses valeurs.
 
14. Accorder des pauses
 
La pause est souvent perçue comme une perte de temps par les employeurs et les managers. Or, en réalité, celle-ci permet aux salariés de se retrouver, mais aussi de couper quelques minutes pour être plus productif ensuite. Selon Desktime, ses employés les plus productifs sont ceux qui travaillent de manière intensive durant 52 minutes avant de prendre 17 minutes de pause1. À réfléchir.
 
15. Laisser la place aux projets personnels
 
La motivation des salariés chez Google passe par le célèbre projet 20 %. Il s’agit de laisser à ses équipes 20 % de leur temps pour se consacrer à des projets personnels en lien avec leur activité. Ce concept a fait ses preuves, c’est de cette manière que sont nés Adsense et Google News. À une certaine époque, la motivation des salariés chez Apple s’appliquait un peu de la même manière avec deux semaines par an accordées aux projets personnels.
 
16. Éviter la solution «diviser pour mieux régner»
 
Cette solution a fait son temps. Monter les employés les uns contre les autres, placer des chefs dans chaque section, tout ceci s’avère contreproductif. Les salariés ne travaillent plus ensemble, ils sont en compétition permanente et cela altère les conditions de travail qui, rappelons-le, sont un facteur de motivation des salariés.
 
17. Être présent en tant que chef d’entreprise
 
La communication interne et la motivation des salariés vont de pair. Et cette communication doit être à la fois horizontale et verticale. Pour s’impliquer, les salariés doivent savoir avec qui et pour qui ils travaillent, et considérer que la tête de l’entreprise est accessible. En tant qu’employeur, vous devez être physiquement présent dès que possible auprès de vos équipes.
 
18. Savoir demander conseil à ses équipes
 
Nous venons d’évoquer la communication transversale. Il ne s’agit pas de simples échanges. En tant qu’employeur ou manager, vous devez vous tourner vers vos équipes pour leur demander conseil. Pourquoi? Simplement parce que ce sont eux qui sont sur le terrain et qu’ils sont à même de vous apporter beaucoup pour faire évoluer votre entreprise. De plus, c’est un facteur de valorisation majeur.
 
19. Rendre les horaires de travail plus flexibles
 
La flexibilité est une très bonne solution pour motiver les salariés. Aussi, la mise en place d’horaires flexibles est un signe de souplesse et de confiance qui leur permet d’être plus autonomes. Ils peuvent ainsi mieux concilier vie privée et vie professionnelle, cela peut être une solution à envisager pour qu’ils s’impliquent toujours plus dans l’évolution de votre entreprise.
 
20. Accorder le télétravail à ceux qui le souhaitent
 
Vous vous demandez encore comment accroître la motivation des salariés ? Nous vous proposons de répondre à une requête toujours plus forte : le télétravail. Les salariés souhaitent travailler chez eux. Pas tous les jours, mais une à deux fois par semaine, ils désireraient ne pas perdre de temps dans les transports et concilier une fois de plus personnel et professionnel. Plus de concentration et moins d’absentéisme, vous avez tout à gagner à donner suite aux attentes de vos salariés pour les motiver.
 
 
 
Dans un monde professionnel en constante évolution, de plus en plus de personnes cherchent à diversifier leurs sources de revenus en combinant le salariat avec l'entrepreneuriat. Cette démarche, souvent qualifiée de "cumul salariat et auto-entrepreneuriat", offre de multiples avantages, mais nécessite également une gestion minutieuse du temps, des ressources et des priorités.
 
Le cumul salariat et auto-entrepreneuriat permet aux individus de bénéficier de la sécurité d'un emploi à temps plein tout en explorant leur potentiel entrepreneurial et en augmentant leurs revenus grâce à des activités indépendantes. Que ce soit par passion pour un domaine spécifique, pour répondre à un besoin non comblé sur le marché ou simplement pour accroître son niveau de confort financier, cette approche attire de plus en plus de travailleurs.
 
Cependant, jongler entre ces deux mondes professionnels peut s'avérer complexe. Entre les horaires chargés du travail salarié et les exigences de gestion d'une entreprise individuelle, trouver l'équilibre peut être un défi de taille. De la planification efficace du temps à la nécessité de respecter les réglementations fiscales et administratives, les individus engagés dans cette voie doivent faire preuve de flexibilité et de résilience.
 
Vous pouvez recourir aux conseils ci-dessous pour réussir le pari du cumul salariat et auto-entrepreneuriat :
 
   1. Vérifier d’abord son contrat de travail

Tout d’abord, le cumul d’un emploi salarié et d’une micro-entreprise est possible dans la mesure où l’activité de la micro-entreprise ne constitue pas une concurrence déloyale vis-à-vis de l’employeur. Il est alors important de vérifier si le contrat de travail ne contient pas de clauses qui interdisent le cumul d’une activité professionnelle avec l’emploi salarié. Dans le cas contraire, il est nécessaire de demander une autorisation écrite à son employeur pour exercer une activité indépendante en parallèle, afin d’éviter tout conflit d’intérêt.
 
     2. Aménager son temps de travail
 
Ensuite, il convient de respecter les règles en matière de temps de travail et de repos. En effet, le temps consacré à l’activité de micro-entreprise ne doit pas empiéter sur les horaires de travail du salarié, ni compromettre sa santé ou sa sécurité. Il est donc recommandé de prévoir des plages horaires dédiées à l’activité indépendante, en dehors des heures de travail salarié et en gardant des heures de repos pour éviter tout surmenage.
 
      3. Définissez vos objectifs
 
La troisième étape, cruciale dans votre démarche, est de définir précisément vos objectifs. Il est primordial d'avoir une vision claire et détaillée de ce que vous souhaitez accomplir en vous lançant dans l'aventure de l'entrepreneuriat tout en conservant une activité salariée.
 
Voici quelques exemples d'objectifs courants à considérer : générer un complément de revenu ; accroître votre visibilité et votre présence sur le marché dans votre secteur d'activité, ce qui peut ouvrir de nouvelles opportunités professionnelles ; renforcer votre employabilité en acquérant de nouvelles compétences, en élargissant votre réseau professionnel et en développant votre expérience dans le domaine de l'entrepreneuriat ; développer de nouvelles compétences entrepreneuriales telles que la gestion du temps, la résolution de problèmes, la gestion financière et la prise de décision stratégique ; profiter de la sécurité financière offerte par votre emploi actuel pour tester votre idée d'entreprise et évaluer sa viabilité sans compromettre votre stabilité financière.
 
N'hésitez pas à choisir plusieurs objectifs qui correspondent à vos aspirations et à vos besoins. L'essentiel est d'avoir une vision claire de ce que vous souhaitez accomplir en vous lançant dans cette aventure entrepreneuriale tout en maintenant votre emploi salarié pour le moment."
 
        4. Élaborez un plan d’action
 
Pour réussir à atteindre vos objectifs, il est essentiel d'élaborer un plan d’action concret qui détaille les actions à entreprendre sur les 3, 6 et 12 prochains mois. Cette feuille de route constituera un guide pour vous orienter dans le développement de votre projet entrepreneurial, de la conception de votre offre à sa promotion et sa vente.
Par exemple, si votre objectif est de créer une activité parallèle pour générer un complément de revenu et booster votre employabilité, vous pourrez mettre en place les actions suivantes :
Création et optimisation de votre profil Linkedin ; Développement de votre marque personnelle sur Linkedin (création de contenu, communication régulière, etc) ; Création d’une mini-formation dans votre domaine d’expertise.
 
     5.  Fixez-vous des horaires de travail
 
Pour réussir à jongler entre deux activités professionnelles simultanément, il est impératif de consacrer un effort significatif. Cela implique généralement de travailler davantage que vos collègues et amis salariés. Maintenir une constance et une régularité demande une routine stricte. Il est donc recommandé d'établir des plages horaires dédiées spécifiquement au développement de votre activité d'auto-entrepreneur. Ce cadre vous aidera à maintenir une discipline rigoureuse et à persévérer dans vos efforts sur le long terme.
Par exemple, vous pourriez choisir de consacrer chaque soir, après votre journée de travail, une période de travail sur votre projet. Vous pourriez également réserver une journée entière du week-end pour cette activité. Il est essentiel d'ajuster ces plages horaires en fonction de vos besoins, de vos contraintes personnelles, mais aussi des compromis que vous êtes prêt à faire.
 
      6.  Développer votre réseau
 
Pour démarrer votre micro-entreprise tout en conservant votre emploi salarié, il est important d’exploiter efficacement votre réseau. Cette démarche va bien au-delà de simples conversations informelles. Il s'agit plutôt d'engager activement vos contacts pour obtenir leur soutien et leur assistance.
Pour commencer, informez vos proches (amis, famille, connaissances) de votre projet, puis élargissez votre communication à votre réseau professionnel. Utilisez vos plateformes de médias sociaux pour partager votre initiative, et envoyez des messages personnels à ceux avec qui vous êtes en relation pour leur présenter votre projet. Vous pouvez même envisager d'organiser un petit événement pour marquer le lancement de votre activité. En adoptant cette approche stratégique, vous augmenterez vos chances d'obtenir vos premières opportunités commerciales, de nouer des collaborations et de trouver vos premiers clients.
 
     7. Veillez à l’équilibre vie professionnelle / vie personnelle
 
Démarrer une micro-entreprise tout en maintenant un emploi salarié peut offrir une aventure enrichissante et stimulante. Cependant, jongler entre deux activités peut être exigeant sur le plan mental et/ou physique. Si vous ne prenez pas garde, la charge de travail accrue, le stress quotidien et les multiples responsabilités de la vie adulte peuvent vous exposer au risque de burn-out. Ainsi, il est essentiel d'incorporer quelques routines et habitudes saines pour préserver votre bien-être à long terme. Voici quelques recommandations pour maintenir un meilleur équilibre vie pro / vie perso : fixez-vous des limites claires ; prenez de vraies vacances (plusieurs fois par an) ; dormez suffisamment (idéalement 8 h/nuit si possible !) ; déléguez ou automatisez les tâches à faible valeur ajoutée ; gardez une activité physique régulière ; déconnectez complètement au minimum un jour par semaine ;
Si possible, négociez un aménagement de votre contrat de travail (télétravail partiel, contrat à temps partiel) pour mieux concilier vos deux activités.
 
Avec ces sept (7) conseils à l'esprit, vous serez mieux armé pour gérer avec efficacité votre micro-entreprise tout en conservant votre emploi salarié.
 
 
Se lancer dans un nouveau boulot ou chercher une nouvelle opportunité, c’est super excitant ! Passer un entretien d'embauche peut mettre beaucoup de gens un peu sur les nerfs. C'est normal de ressentir ça.  On veut tous laisser une bonne impression, mais ça peut stresser même les plus confiants. Et puis, le truc de pas savoir à quoi s’attendre peut inquiéter même les plus expérimentés.
Si t’es dans ce cas de figure, pas de panique, tu n’es pas tout seul. Heureusement, y a des astuces pour te filer un coup de main et te donner le courage de montrer ce que t’as dans le ventre aux futurs boss.
Alors, voyons ensemble cinq astuces sympas pour calmer ton stress avant un entretien. Ça te donnera confiance pour mettre en avant tes compétences et ton expérience. On va voir comment transformer ce moment flippant en une super opportunité pour briller en entretien.
 
     1.  Affrontez vos peurs.
 
Il peut sembler étrange, mais la première étape pour surmonter l’anxiété liée à un entretien d’embauche est d’accepter vos peurs. Plutôt que de vous mettre en colère contre vous-même pour ressentir de l’anxiété, reconnaissez ces émotions. Elles sont tout à fait naturelles et montrent que vous comprenez l’importance de l’entretien. Les entretiens d'embauche sont des moments cruciaux ; il est normal de se sentir submergé en examinant chaque mot et action.
Il est essentiel de canaliser l’énergie que vous dépensez en auto-critique vers une attitude plus positive. Gardez à l’esprit que l’anxiété avant un entretien est quelque chose que de nombreux professionnels ressentent, quelle que soit leur expérience. La nature évaluative de l’entretien, où chaque aspect de vos capacités est passé au crible, contribue à ce sentiment d’anxiété.
Voyez l'anxiété comme faisant partie de notre réaction instinctive de « combat ou de fuite ». Elle nous prépare à faire face à l’inconnu ou à mobiliser nos ressources pour réagir.
Même si cette montée d’adrénaline peut provoquer une bouche sèche et un cœur qui bat plus vite, elle a son utilité au-delà de l’inconfort. Elle aiguise nos sens, accroît notre vigilance et améliore finalement nos performances. En acceptant vos peurs et en considérant l’anxiété comme une partie normale du processus, vous adopterez une attitude plus positive et responsable vis-à-vis de votre entretien d’embauche.
 
   2.  Préparez-vous et soyez prêt !
 
La préparation vous fournit les connaissances et les informations nécessaires. Demandez à un ami ou à un membre de votre famille de vous aider à simuler un entretien. Pendant cette simulation, mettez en pratique vos réponses aux questions les plus courantes. Exercer un entretien vous permettra de mieux répondre aux questions et de vous sentir plus détendu avant le vrai rendez-vous.
Allez au-delà de la simple répétition des réponses. Entraînez-vous à présenter chaque réponse de manière fluide. Cela vous aidera à éviter les hésitations et les répétitions, ainsi que l’utilisation excessive de mots comme « euh » ou « donc ». Un entretien bien préparé et articulé inspire confiance et laisse une impression positive sur l'intervieweur.
La préparation est la clé pour développer confiance et calme lors d'un entretien. Une bonne préparation est la base d'une performance remarquable lors des entretiens d'embauche.
 
      3.  Adoptez une attitude positive
 
Adopter une attitude positive n'est pas simplement un concept du nouvel âge ; la science montre qu'il existe un lien entre nos perspectives et nos résultats. Le phénomène des prophéties auto-réalisatrices est bien réel et peut se manifester dans nos vies. Des recherches démontrent que les pensées négatives peuvent être paralysantes.
Les pensées négatives réduisent notre capacité de concentration et entravent notre aptitude à penser de manière globale et à agir de manière efficace. À l'inverse, les pensées positives nous aident à voir les opportunités et les options, ce qui nous permet de développer de nouvelles compétences et d'exploiter notre potentiel de réussite.
Il est important de modifier votre dialogue intérieur pour y inclure des affirmations positives. Visualisez-vous détendu pendant l'entretien et imaginez une conversation fluide se déroulant avec confiance. La pratique de la respiration méditative ou du yoga peut être bénéfique ; il est difficile de se sentir anxieux lorsque l'on respire lentement et profondément. Écouter de la musique motivante et positive avec des écouteurs avant l'entretien peut également vous mettre dans un état d'esprit positif et confiant.
 
      4. Trouvez une perspective !
 
Lorsqu'on se lance dans un entretien d'embauche, il est peu probable que l'on soit ambivalent à propos du poste - du moins, on l'espère. Les enjeux sont généralement élevés. Cependant, il est important de gérer ses propres attentes tout au long du processus de recherche d'emploi et d'entretien.
En d'autres termes, évitez de donner une signification exagérée à l'entretien dans votre esprit. Bien qu'il soit important et puisse même représenter le travail de vos rêves, ce n'est pas nécessairement la seule opportunité disponible. Si l'entretien ne se déroule pas parfaitement, d'autres opportunités se présenteront. En fait, il existe de nombreuses opportunités qui vous attendent.
Évitez de laisser transparaître un sentiment de désespoir pendant l'entretien, peu importe à quel point vous pouvez vous sentir dans le besoin. Montrez de l'enthousiasme plutôt que du désespoir. Dans le pire des cas, l'entretien vous permettra de mieux vous connaître. Vous pourrez identifier vos points forts et faibles lors de l'entretien, ce qui vous rendra encore meilleur la prochaine fois.
 
    5. Faites semblant jusqu'à ce que vous y parveniez
 
Est-ce que faire semblant de réussir jusqu'à ce que vous réussissiez réellement fonctionne lors d'un entretien d'embauche ? Oui, adopter une attitude de "faire semblant jusqu'à ce que vous réussissiez réellement" peut fonctionner lors d'un entretien d'embauche. Cela ne signifie pas que vous devriez inventer ou mentir sur vos compétences et votre expérience. Au contraire, cela implique d'agir comme si vous aviez déjà la confiance nécessaire, au lieu d'attendre de la gagner. La confiance est une question d'attitude, pas seulement de sentiment.
Votre langage corporel joue un rôle crucial ; maintenez vos épaules en arrière, établissez un contact visuel et offrez une poignée de main ferme. Avant d'entrer dans l'entretien, prenez quelques respirations profondes. Il est étonnant de constater que les comportements peuvent précéder les émotions. Si vous ne vous sentez pas confiant, agissez comme si vous l'étiez, car cela vous conduira à une véritable confiance. Se tenir fermement sur ses deux pieds rend difficile de se sentir petit. Adoptez une posture puissante en mettant vos mains sur vos hanches, en vous tenant droit et en respirant profondément. Engagez-vous dans un processus d'affirmation de soi jusqu'à ce que vous ressentiez réellement cette assurance. Cette transformation peut survenir plus rapidement que vous ne le pensez.
Rappelez-vous, un bon recruteur souhaite votre succès et comprend que les entretiens peuvent être source d'anxiété. Ils ne cherchent pas à vous piéger, même s'ils évaluent votre réaction sous pression. Gardez à l'esprit que la personne qui vous interviewe a également dû passer par ce processus pour obtenir son propre emploi.
 
Grâce à ces conseils, vous serez prêt à affronter votre entretien avec confiance et aisance. Avec toutes les préparations que vous avez accomplies, vous pouvez aborder cette étape avec beaucoup de sérénité, sachant que vous avez tout mis en œuvre pour réussir. Faites appel à votre attitude positive et à votre posture confiante pour vous guider à travers chaque question et chaque interaction. Vous avez travaillé dur pour en arriver là, alors entrez dans la salle d'entretien avec la certitude que vous avez tout ce qu'il faut pour réussir.